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Iridologie

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L'iridologie est étroitement liée à la naturopathie, celle-ci ayant pour but de reconstruire le terrain biologique, renforcer le potentiel de l'organisme pour permettre à la personne de se prendre en charge à tous les niveaux, physique, émotionnel et psychique. Elle aide donc le thérapeute à donner à son patient, une vision globale de son organisme.

L’iridologie ne permet pas d’établir un diagnostic comme en médecine allopathique, ni d’attribuer un nom de maladie en fonction de l’image donnée par l’iris. On ne peut pas dire si la personne présente telle ou telle pathologie, un rhume ou une angine par exemple. Le diagnostic de la médecine classique est limitatif, il ne représente qu’une petite partie du mal réel et profond dont souffre le patient.

Par contre, l'iridologie est l'étude complète du terrain, elle donne une vision de l’ensemble de l’organisme permettant d’établir un bilan de santé, et détermine l’état biochimique et métabolique des différents organes.

L'objectif du naturopathe est toujours d'estimer le niveau de la force vitale, et l'iridologie est l'un des meilleurs outils lui permettant d'effectuer cette évaluation.

L’analyse détaillée de l’iris révèle les prédispositions individuelles à certaines pathologies, associées aux prédispositions génétiques et  à des facteurs environnementaux et/ou émotionnels. Elle constate les déséquilibres pouvant être à l'origine de troubles fonctionnels, de lésions organiques ainsi que d'un ralentissement des échanges cellulaires. Elle reflète précisément le "capital santé" du patient, et repère également les erreurs d’une mauvaise hygiène de vie venant affecter le bon fonctionnement de l'organisme.

L'iridologie peut également déceler le degré d'intoxication de l'organisme, les anomalies génétiques transmises susceptibles de dégénérer en maladies.
En effet, les signes iriens sont présents bien avant que la maladie ne se déclare, et les déséquilibres fonctionnels s'expriment bien avant l'installation de la maladie.

C’est donc un dépistage qui, suffisamment précoce, permet de prévenir la maladie, bien avant que les symptômes alarmants n’apparaissent. C’est cette faculté de découvrir les faiblesses organiques avant même l’apparition des symptômes qui distingue l’iridologie des autres méthodes de dépistage, et représente un outil précieux pour le naturopathe.
Les observations iriennes constituent une aide précieuse qui vient confirmer les hypothèses du bilan de santé, permet de prévoir, et/ou d’expliquer les symptômes.

Les signes iriens peuvent également révéler l'histoire des maladies antérieures et traitements déjà reçus. L’iris garde l'empreinte du passé pathologique, des affections qui, soit se sont mal terminées, soit ont laissé des traces dans l'organisme. Par exemple, un triangle blanc dans une zone spécifique reflète l'appendicite, mais une tache noire signifie que l'appendice a été enlevé par la chirurgie.

En fait, tout est inscrit sur l'iris, à condition que la zone du corps affectée, ait une terminaison nerveuse qui se rende jusqu'à l'iris.
Une prise en charge adaptée pourra normaliser le terrain et permettre le retour à un état de santé le plus satisfaisant possible. Les anomalies métaboliques peuvent être traitées avec des vitamines, minéraux et produits naturels.

En résumé, l'iris, véritable cartographie du corps humain, permet au naturopathe d'effectuer une analyse du terrain, avec ses atouts et ses faiblesses, liés à l'hérédité constitutionnelle et à l'hygiène de vie, et de dépister :
- le degré de vitalité de la personne et son âge biologique (degré d'oxydation et de vieillissement cellulaire),
- la nature de sa toxémie (toxines endogènes liées à une mauvaise dégradation des composés organiques ou exogènes liées à l'accumulation de déchets toxiques dans les tissus)
- la perméabilité émonctorielle ou fonctionnalité des différents organes d'élimination (foie, intestins, reins, peau, poumons).

L'iridologie est devenue une science grâce aux connaissances de plus en plus approfondies de l'anatomie et de la physiologie du corps humain, ainsi qu'aux progrès de la photographie.
Elle est un art aussi, la lecture des iris est artistique.
Elle s'adresse tout d'abord aux bien-portants qui veulent éviter la maladie, elle joue un rôle important dans la prévention, notion des plus importantes en naturopathie. Elle s'adresse ensuite aux personnes qui ont tout essayé, et en désespoir de causes viennent consulter un naturopathe.

 

Neurophysiologie de l'iridologie

C'est Ignatz von Peczely, médecin hongrois, qui a développé l'iridologie dans les années 1880. Il établit la première cartographie de l'iris, montrant une véritable correspondance avec tout l'organisme : "l'œil n'est pas seulement le miroir de l'âme, il est aussi le miroir du corps". On connait ainsi depuis longtemps, le lien qui existe entre l'iris et l'ensemble des organes. On trouve également des zones réflexes au niveau de la plante des pieds et des mains (réflexologie plantaire et palmaire), et du pavillon des oreilles (auriculothérapie).

Au stade embryonnaire, des liens intimes se créent entre l'iris, qui se forme entre la 14ème et la 16ème semaine de la vie fœtale, et la majorité des tissus :
- La couche pigmentée, les muscles et les cellules chromatophores de l'iris proviennent de l'ectoderme, également à l'origine de la peau et du système nerveux.
- Le stroma et la vascularisation de l'iris sont issus du mésoderme, donnant naissance aux viscères, au sang, au système cardio-vasculaire et aux muscles.

Cette double origine embryonnaire fait que l’iris, en recevant les informations des tissus, constitue une zone de projection de l’ensemble du corps. Chaque organe ainsi que son état y sont représentés, et correspondent à une zone et une apparence bien particulières de l'iris. L'état de santé ou de maladie peut être révélé à partir de la couleur, de la texture, et de la localisation de taches de pigment dans l'œil.

Ainsi, examiner l'iris permet de réaliser un bilan de santé complet : potentiel vital, état des organes, hérédité, tonus énergétique, déséquilibres ou déficiences éventuels.

Comment ces informations organiques s'impriment-elles dans l'iris de l'œil ?
L'iris, tout comme les autres zones réflexes (pieds, mains, oreilles), reçoit des informations véhiculées par le système nerveux autonome. Celui-ci, qui ne fonctionne pas de manière consciente, est composé du système nerveux sympathique et du système nerveux parasympathique. Ces deux voies (sympathique et parasympathique) commandent les mouvements du sphincter : constriction (myosis) et dilatation (mydriase), et participent également très intimement, par échange d'informations, au fonctionnement des organes des différents systèmes, digestion, respiration, rythme cardiaque, circulation sanguine …

L'activité du système nerveux autonome est perçue par l'observation du mouvement de la pupille en fonction de l'éclairage, ainsi que par l'état des fibres iriennes. L'observation de l'iris permet donc d'en déduire l'activité du système nerveux autonome et donc l'activité de l'ensemble de l'organisme. Les fibres sympathiques de l'iris transmettent les informations sur les variations de fonctionnement des grands viscères, par l'intermédiaire du centre cilio-spinal de Budge et Waller, longtemps considéré comme le seul centre irido-dilatateur, et situé dans la substance grise de la moelle, entre C7 et D2. D'autres centres, comme celui de Karplus et Kreidl situé au niveau du troisième ventricule, auraient également une action sur les fibres sympathiques de l'iris.

On sait par ailleurs, que toute cellule organique fonctionne comme une batterie, avec son potentiel électrique. Donc un organe constitue un complexe émetteur-récepteur avec sa charge et son potentiel électrique propre. Il possède donc un processus chimique particulier et un équilibre acido-basique bien à lui, tout cela contrôlé par le système nerveux central. Il est d’autre part, relié électriquement à une partie bien précise de l'iris.

Les échanges avec chaque organe sont multiples et lorsqu’une pathologie se déclare, elle entrave le fonctionnement de ce complexe électrique. Ce dysfonctionnement, qui est soit une modification du métabolisme cellulaire, soit une déficience électrique de l’organe, déclenche des relais qui vont avertir directement le système nerveux central, sympathique et parasympathique. De très nombreuses ramifications (des millions) de ces deux grands systèmes nerveux arrivent au niveau de la surface irienne. Le réflexe irien se manifeste par un changement de couleur, sur-pigmentation ou au contraire dépigmentation en fonction de l'acidité ou de l'alcalinité du milieu intérieur. Ce changement de couleur est provoqué par une modification du métabolisme cellulaire de l'organe en question. Lorsqu’un organe commence à ne plus fonctionner normalement, il réagit sur les centres nerveux dont il dépend, sur le système sympathique en particulier, avant qu'une douleur ne donne l’alerte.

D'autre part, les modifications biochimiques du milieu, concentration acido-basique et potentiel d'oxydoréduction, ont des conséquences sur la coloration de l'iris. Ces informations chimiques (et non plus mécaniques) parviennent à l'iris par le sang. L'iris étant très vascularisé, toute variation biochimique provoque une modification de certains pigments dans des zones bien particulières de l'iris, en fonction de la nature de ces perturbations.

Donc, deux voies d'information parviennent à l'iris : le système nerveux et le sang.

Certains médicaments, comme la streptomycine, bloquent la relation organes / iris, masquant ainsi les signes qui permettraient de faire un rapport avec la maladie. On ne sait toutefois pas s’ils agissent en neutralisant les systèmes nerveux sympathiques ou parasympathiques.

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