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Les prostaglandines

Les prostaglandines sont des substances chimiques qui ont un rôle de régulateurs locaux.

On les trouve dans pratiquement tous les tissus et les organes.

C'est sous leur influence que se déroulent la plupart des processus biochimiques de l'organisme : régulation de la tension artérielle, élasticité des vaisseaux, réactions anti-inflammatoires, désagrégation des plaquettes sanguines.

Elles sont également des médiateurs lipidiques paracrine et autocrine qui activent de nombreux RCPG (récepteurs membranaires couplés à des protéines G).

Elles agissent entre autres sur les plaquettes, l'endothélium, l'utérus et les mastocytes.

Elles sont synthétisées dans la cellule à partir d'acides gras essentiels, et notamment de l'acide arachidonique, un acide gras polyinsaturé essentiel à chaîne longue qu'on trouve dans certaines huiles végétales. Il est fabriqué dans notre organisme à partir de l'acide linoléique, lui-même obtenu à partir de phospholipides membranaires par action de phospholipases.

 

L’acide linoléique et l’acide alpha-linolénique, acides gras polyinsaturés essentiels, sont à l’origine de deux chaînes métaboliques parallèles, les oméga 3 et oméga 6.

L'oxydation enzymatique intracellulaire de l'acide arachidonique par la cyclooxygénase (cyclisation + oxydation) conduit aux prostaglandines qui sont des médiateurs très actifs, très rapidement dégradés.

Chaque prostaglandine possède 20 atomes de carbone dont un cycle à 5 atomes de carbone.

prostaglandine1           prostaglandine2
Prostaglandine 1

      Prostaglandine 2

 

- La PGE 1 : issue de l'acide gamma-linolénique (GLA, un acide gras oméga-6). Elle a une action bénéfique sur la peau, l'équilibre des membranes cellulaires et l'équilibre hormonal en général.

 

- La PGE 2 : produite à partir de l'acide arachidonique (AA, oméga-6) au niveau du rein, de la rate et du cœur. Intervient dans les processus de vasodilatation, de migration et prolifération lymphocytaire. Elle favorise l'agrégation plaquettaire, jouant un rôle antihémorragique, ainsi que la contraction des muscles lisses (utérus, intestin, vaisseaux).

Les prostaglandines de type 1 et 2 (série oméga 6) ont donc des propriétés anti-inflammatoires. Elles agissent également sur les systèmes nerveux et cardio-vasculaire et dans la régulation hormonale (oestrogène).

 

- Les PGE 3 : issues de l'acide alpha-linolénique (ALA, oméga-3). Contrairement à la PGE2, elle stimule la vasodilatation et fluidifie le sang.

Ces 2 prostaglandines (2 et 3) sont donc complémentaires.

D'une manière générale, les prostaglandines de la famille des omégas-3 jouent un rôle antiagrégant et antiarythmique et dans la protection du système cardio-vasculaire, diminuent les triglycérides et le cholestérol, et améliorent la microcirculation.


Les enzymes

La réaction enzymatique est présente à pratiquement toutes les étapes du métabolisme. Les enzymes sont des catalyseurs biologiques, des substances qui, à faible dose, augmentent la vitesse d’une réaction chimique sans subir elles-mêmes de modification.

Leur fonction est liée à la présence dans leur structure (secondaire et tertiaire) d'un site particulier appelé le site actif. Schématiquement, il a la forme d'une cavité ou d'un sillon à la surface de la protéine, dans lequel va se fixer le substrat (molécule initiale) grâce à plusieurs liaisons chimiques faibles (liaisons hydrogène ou liaisons ioniques). Une fois fixé, le substrat va être transformé en produit (molécule résultant de la réaction). L'enzyme reste inchangée après la réaction, elle est prête pour un autre cycle.

enzyme reactionOn écrit la réaction chimique :


                      Enzyme

Substrat(s)   --------->    Produit(s)

 

Le site actif est divisé en deux parties : le site de liaison (fixation/reconnaissance) qui reconnaît la complémentarité de forme avec un substrat spécifique à l'enzyme, et le site catalytique qui permet la réaction transformant le substrat en produit.

Les enzymes ont donc une double spécificité : d’action car chaque enzyme ne catalyse qu’un seul type de réaction (par exemple l'hydrolyse) et de substrat car une enzyme ne peut agir que sur un seul substrat.

 

L'activité enzymatique se déroule dans un environnement réactionnel bien défini, dont les paramètres influençant la cinétique sont :

- la température : pour chaque enzyme, il existe une température optimale. Au dessus ou en dessous de cette température, l’activité de l’enzyme décroît (les liaisons faibles qui stabilisent la protéine se rompent et la molécule est dénaturée). La plupart des enzymes humaines ont une activité optimale entre 35 et 40°C enzymes (proche de la température corporelle).

- le pH : il existe aussi un pH optimal qui assure à chaque enzyme une activité maximale. Celui de la majorité des enzymes se situe entre 6 et 8, mais il y a des exceptions : la pepsine (enzyme digestive de l'estomac) fonctionne mieux avec un pH acide de 2.

- les cofacteurs : ce sont des substances inorganiques, des cations métalliques non dénaturants (zinc, fer, cuivre, magnésium) qui jouent un rôle important dans la réaction enzymatique. Par exemple le Mg2+ est indispensable à l'action des kinases car il stabilise l'ATP (le substrat) ; l'absence de cet ion inhibe la réaction.

- les coenzymes : sont des molécules organiques, non protéiques, indispensable à l'activité des enzymes. Elles sont groupées en 2 familles : les coenzymes d'oxydoréduction et les coenzymes de transfert. La plupart des vitamines sont des coenzymes ou des précurseurs de coenzymes.


Le cholestérol

Le cholestérol est la substance lipidique la plus abondante du monde animal et joue un rôle important d'un point de vue métabolique notamment en tant que précurseur des hormones stéroïdes. C'est un stérol qui a une origine exogène, l'alimentation et une origine endogène, sa biosynthèse qui se déroule principalement dans le foie.

cholesterol moleculeIl peut se présenter sous deux formes :

- une forme libre, non associé à une autre substance, il se situe à la surface de la lipoprotéine - une forme estérifiée c'est à dire lié à un acide gras pour former des stérides.


Le cholestérol est présent dans toutes les cellules.

- C'est le composant fondamental des membranes cellulaires : une partie importante du cholestérol est en effet utilisée pour la constitution de la couche lipidique des membranes plasmiques. Il contribue à leur stabilité et au maintien de leurs structures en s'intercalant entre les phospholipides.

Il rigidifie la membrane car il empêche sa gélification en évitant la cristallisation des acides gras, et diminue la perméabilité membranaire aux molécules hydrosolubles. Il joue également un rôle dans la fluidité des membranes. L'organisme maintien donc un équilibre subtil du taux de cholestérol.

- Le cholestérol est le précurseur de certaines hormones intervenant dans la régulation du métabolisme. Des hormones stéroïdes : cortisol, cortisone, et aldostérone, et des hormones stéroïdes sexuelles : progestérone, œstrogènes, et testostérone,

- Il est également un précurseur de la vitamine D3 qui intervient dans la calcification des os,

- C'est le constituant essentiel de la bile. Il est stocké dans le foie avant d'être converti en acides biliaires.

cholesterol transport

Le cholestérol est véhiculé dans le sang par des systèmes de transport aux rôles très différents : les lipoprotéines LDL (lipoprotéines de petite densité) et HDL (lipoprotéines de haute densité). C'est pour cela qu'on distingue le cholestérol-HDL et le cholestérol-LDL, l'ensemble formant le cholestérol total.

- Les HDL récupèrent le cholestérol dans les organes qui en ont trop pour le rapporter au foie où il est éliminé. Elles ont la faculté de nettoyer nos artères de tous les dépôts lipidiques de mauvaise qualité et de réduire le risque de voir apparaître une plaque athéromateuse. On parle de "bon cholestérol".

- Les LDL déposent le cholestérol sur les parois des artères. Il se forme alors, petit à petit, de véritables plaques de graisse, appelées athéromes. On parle dans ce cas de "mauvais cholestérol". Son taux élevé peut entraîner des calculs biliaires ou constituer un facteur de risque de l'athérosclérose qui conduit aux maladies cardio-vasculaires.

Il est possible d'établir le taux "normal" de cholestérol dans le sang en dosant spécifiquement le LDL et le HDL, le résultat de ce dosage se traduisant par le rapport suivant : (cholestérol total / HDL) inférieur ou égal à 4,5, plus ce rapport est élevé, plus le risque cardio-vasculaire est grand.


L'acide urique

L'acide urique est une molécule qui résulte de la dégradation finale des purines, plus précisément des acides nucléiques (acides qui entrent dans la composition des chromosomes).

Il provient de 3 sources, une exogène et deux endogènes.


La provenance exogène est la plus importante :

L'acide urique est issu du catabolisme, c'est-à-dire du métabolisme de dégradation des nucléoprotéines contenues dans les aliments. Son taux dépend donc de la richesse plus ou moins grande en nucléoprotéines des aliments absorbés.

Le taux d'acide urique dans l'urine augmente quand on augmente la ration en viande, les morceaux les plus riches en nucléoprotéines étant le riz de veau (thymus), les abats, le gibier, les crustacés, les sardines, les anchois.


Les origines endogènes

- La première provient de l'usure des tissus organiques, qualifiée par le langage médical de dégradation des nucléoprotéines tissulaires.

- La seconde, provient de la transformation directe en acide urique d'une partie de l'acide inosinique synthétisé par l'organisme à partir de substances simples (glycocolle, glutamine, acide aspartique, CO2, formiate), plus précisément à partir du noyau purique des bicarbonates et acides aminés disponibles en grande quantité dans l'organisme et dont la synthèse s'effectue dans le foie.

 

L'élimination de l'acide urique s'effectue de deux manières :

L'une pratiquée presque entièrement grâce aux bactéries contenues dans l'intestin (uricolyse), l'autre, urinaire, comprenant trois étapes successives : filtration à l'intérieur du glomérule, sécrétion et réabsorption dans le tube distal.

Lorsque le taux d'acide urique sanguin s'élève trop (hyperuricémie), il précipite, des cristaux d’urate de sodium se déposent dans les articulations et provoquent des crises de gouttes.

Une partie de l'acide urique passe dans les urines, où là aussi il risque de précipiter, surtout si l'urine est acide. Ces cristaux se déposent alors dans les reins, forment des calculs dans les voies urinaires et provoquent des coliques néphrétiques.

Son dosage dans les urines, corrélé, au dosage dans le sang, permet de dépister une élimination importante dans certaines pathologies telles que la goutte ou certaines tumeurs.

Les articulations les plus touchées sont l’articulation du gros orteil, mais d’autres articulations peuvent être touchées : au niveau du pied, du genou aussi. Les articulations des mains et des doigts sont parfois atteintes ainsi que les poignets et les coudes.


 

La flore bactérienne

La fonction de la flore bactérienne

La flore bactérienne de l'intestin grêle vit normalement en symbiose avec l'hôte humain.

Cet ensemble de micro-organismes représente environ 100 000 milliards de bactéries, soit une quantité dix fois plus importante que le nombre de cellules dans un être humain.

Elle constitue une « barrière » permettant de limiter la colonisation par des bactéries pathogènes.

 

La quantité et la qualité de cette flore sont très importantes pour une bonne santé.

Ces bactéries se répartissent de façon non homogène tout le long du tube digestif et sont plus nombreuses au niveau du côlon qu’au niveau de l’intestin grêle.

flore bacterienne intestinale

On distingue les germes aérobies (colibacilles, entérocoques, streptocoques, staphylocoques), présents dans la partie supérieure du tube digestif (duodénum et jéjunum) et les germes anaérobies (environ 500 espèces) dans l'iléon.

La flore intestinale joue un rôle essentiel dans l'organisme et particulièrement dans le métabolisme énergétique. Elle peut en effet augmenter la rentabilité énergétique des aliments ingérés qui ont échappé à la digestion dans la partie haute de l’intestin, via leur fermentation.

Les bactéries complètent la digestion de certains aliments, dégradent les pigments biliaires et participent à la fabrication de certaines vitamines (B5, B8, B12, K).

 

La flore intestinale participe également au bon fonctionnement du système immunitaire.

Elle protège le tube digestif et l’organisme contre l’implantation et la multiplication de bactéries potentiellement dangereuses ; elle freine le développement des levures et des champignons ; elle peut neutraliser certaines substances toxiques, les toxines, fabriquées par les germes à l’origine d’infections intestinales.


2 états de la flore intestinale

La flore intestinale est un ensemble équilibré qui associe :

- une flore dominante composée de germes très nombreux, dont les bifidobactéries et les lactobacilles, appelés aussi probiotiques ;

- une flore sous-dominante moins nombreuse, qui regroupe des streptocoques et des coliformes, inoffensifs car leur nombre reste limité ; une flore variable normalement tenue à l’écart par les autres types de flore. On y trouve des germes qui peuvent provoquer des infections intestinales (par exemple des pneumocoques ou des staphylocoques en surnombre). Cette flore ne s’implante pas dans le tube digestif, sauf en période de maladie.

 

On est donc en présence de 2 états.

- Physiologique où la flore est saprophyte : ce sont toutes les bactéries qui vivent naturellement dans notre intestin. Elles sont très nombreuses au niveau du colon et  très bénéfiques car elles permettent de terminer la digestion, d'inhiber les microbes pathogènes, de synthétiser certaines vitamines (K et B 12), de neutraliser certains produits toxiques et de stimuler la barrière immunologique. Ces bactéries "bienfaisantes" sont les lactobacilles, les coques et les bifidobactéries.

- Pathologique car la flore devient pathogène. Lorsque la barrière microbienne intestinale est insuffisante les germes pathogènes font leur apparition provoquant des infections. Il peut s'agir de germes parasites de l'intestin qui vivent dans la lumière intestinale sans provoquer de pathologie particulière, par exemple le colibacille, et qui acquiert une grande virulence en cas de faiblesse de défense de l'organisme (provoquant des diarrhées ou des pathologies intestinales particulières).


Les défenses de l'intestin grêle

La lumière intestinale est tapissée par une "barrière muqueuse" qui s'oppose à la liaison et à la pénétration des antigènes, micro-organismes et toxines présents dans la lumière intestinale.

La barrière muqueuse est faite d'éléments non immunologiques et immunologiques.

 

- Les défenses non immunes :

L'acidité gastrique représente un obstacle important à la colonisation de l'intestin grêle par les bactéries. La population bactérienne de l'intestin grêle augmente donc proportionnellement à l'élévation du pH gastrique. Les enzymes protéolytiques pancréatiques agissent sur les germes et les toxines bactériennes en dégradant leurs constituants de surface et en diminuant ainsi leurs possibilités de fixation et de pénétration de la membrane entérocytaire.

L'épaisseur et la composition de la couche de mucus qui tapisse la surface microvillositaire contribuent à la défense de la muqueuse contre l'adhésion et la pénétration des toxines, bactéries et antigènes. Lorsqu' une flore de passage entre en contact avec les villosités intestinales, des anticorps sont sécrétés par les plasmocytes de la paroi intestinale (les IgA par exemple) qui agglutinent la flore exogène et empêchent l’adhérence des bactéries à l’épithélium de la muqueuse.

D'autre part, si l'agent infectant parvient quand même au contact de la muqueuse, il induit une accélération du péristaltisme qui diminue son temps de contact avec la muqueuse, évacuant rapidement le contenu de la lumière intestinale.

Le pouvoir pathogène de la plupart des germes ne peut véritablement s'exprimer qu'après leur fixation sur l'entérocyte. Cette fixation permet non seulement la survie des germes mais aussi la libération de leurs toxines au contact de l'entérocyte. Les capacités d'adhésion dépendent de l'agent infectant et probablement également de l'hôte lui-même. A la surface de la bactérie existent des structures antigéniques spécifiques appelées adhésines.

 

- Les défenses immunes :

L'intestin contient la plus forte concentration de cellules immunologiquement compétentes. Par endroit, les cellules immunitaires sont regroupées en follicules lymphoïdes dans la sous-muqueuse, disséminés ou en amas au niveau des plaques de Payer.

Ces follicules sont riches en lymphocytes B tandis que l'atmosphère périfolliculaire contient essentiellement des lymphocytes T. Certaines substances alimentaires, particules infectieuses ou toxines peuvent induire la réponse immunitaire.

Par ailleurs, dans la sous-muqueuse, l'antigène peut être directement phagocyté par une cellule lymphoïde ou peut être absorbé par des macrophages ou des cellules dendritiques.


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